Enaoût 2019, le gouvernement fédéral a annoncé qu'il accorderait 1,75 milliard de dollars aux producteurs de lait de vache sous gestion de l'offre. Jusqu'à 345 millions de dollars et 468 millions de dollars sous la forme de paiements directs étaient disponibles en 2019-2020 et 2020-2021 respectivement. Notre coopérative doit appliquer les accords interprofessionnels pour le paiement du lait. La Grille Criel détaille les majorations et minorations en fonction des résultats d’analyse cliquer pour ouvrir l’accord qui a été reconduit accord interpro 01 17 . L’accord Germes Cellules et également appliqué ACCORD INTERPROFESSIONNEL NATIONAL Chacun des producteurs dont le lait a rendu la citerne positive assure le paiement de Accord_Antibio * la réparation financière soit a minima 125 % du prix de base du lait livré le jour de la positivité ; * la participation financière de 250 € 500 € pour une deuxième positivité et 750 € pour une troisième positivité dans un délai de 12 mois à compter de la première positivité, etc.. * frais de destruction. Laconvention collective du lait est identifiable sous le numéro de brochure 3608 et l'IDCC 7004. Elle règle les rapports entre les employeurs et les salariés des coopératives laitières, les SICA ( Sociétés d'Intérêt Collectif Agricole) laitières dont les activités sont : - fabrication de lait liquide. - fabrication de beurre. Code rural et de la pêche maritimeChronoLégi Sous-section 1 Paiement du lait en fonction de sa composition et de sa qualité Articles D654-29 à D654-38 »Version à la date format JJ/MM/AAAAou duMasquer les articles et les sections abrogésParagraphe 1 Critères utilisés pour le paiement du lait de vache, de brebis et de chèvre en fonction de sa composition et de sa qualité Articles D654-29 à D654-31 lait de vache est payé aux producteurs en fonction de sa composition et de sa qualité hygiénique et sanitaire. La composition du lait de vache est appréciée en fonction de sa teneur en matière grasse, de sa teneur en matière protéique et de son point de congélation. La qualité hygiénique et sanitaire du lait de vache est appréciée en fonction de sa teneur en germes à 30° C, de la présence de résidus d'antibiotiques et de sa teneur en cellules somatiques, conformément aux dispositions du règlement CE n° 852/2004 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 modifié relatif à l'hygiène des denrées alimentaires, du règlement CE n° 853/2004 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 modifié fixant des règles spécifiques d'hygiène applicables aux denrées alimentaires d'origine animale et des textes pris pour leur application. en outre, être utilisés pour la détermination du prix du lait de vache 1° Le nombre des spores butyriques, de staphylocoques à coagulase positive, des coliformes à 30° C, des coliformes thermotolérants, des Escherichia coli, des pseudomonas, des entérobactéries, des levures et des moisissures ; 2° L'indice de lipolyse, la lactofermentation ; 3° L'absence d'inhibiteurs, de Listeria monocytogenes, de Salmonella spp ; 4° Le pH, l'acidité Dornic ; 5° La composition en acides gras, en fractions azotées ; 6° La teneur en lactose et en immunoglobulines g1 ; 7° Lorsque le lait est susceptible d'être utilisé pour la fabrication d'un produit laitier bénéficiant d'un signe d'identification de la qualité et de l'origine, le respect des conditions prévues dans le cahier des charges de ce signe, apprécié selon les modalités prévues à l'article R. lait de brebis est payé aux producteurs en fonction de sa composition et de sa qualité hygiénique et sanitaire. La composition du lait de brebis est appréciée en fonction de sa teneur en matière grasse et de sa teneur en matière protéique. La qualité hygiénique et sanitaire du lait de brebis est appréciée en fonction de sa teneur en germes à 30° C et de la présence de résidus d'antibiotiques, conformément aux dispositions du règlement CE n° 852/2004 du 29 avril 2004 susmentionné, du règlement CE n° 853/2004 du 29 avril 2004 susmentionné et des textes pris pour leur application. en outre, être utilisés pour la détermination du prix du lait de brebis 1° Le nombre des spores butyriques, de staphylocoques à coagulase positive, des coliformes à 30° C, des coliformes thermotolérants, des Escherichia coli, des pseudomonas, des entérobactéries, des levures et des moisissures ; 2° L'indice de lipolyse, la lactofermentation, l'adultération et la recherche de réductase microbienne ; 3° L'absence d'inhibiteurs, de Listeria monocytogenes, de Salmonella spp ; 4° Le pH, l'acidité Dornic ; 5° La composition en acides gras, en fractions azotées ; 6° Le point de congélation ; 7° La teneur en lactose, en immunoglobulines g1, en cellules somatiques, en aflatoxines ; 8° Lorsque le lait est susceptible d'être utilisé pour la fabrication d'un produit laitier bénéficiant d'un signe d'identification de la qualité et de l'origine, le respect des conditions prévues dans le cahier des charges de ce signe, apprécié selon les modalités prévues à l'article R. lait de chèvre est payé aux producteurs en fonction de sa composition et de sa qualité hygiénique et sanitaire. La composition du lait de chèvre est appréciée en fonction de sa teneur en matière grasse et de sa teneur en matière protéique. La qualité hygiénique et sanitaire du lait de chèvre est appréciée en fonction de sa teneur en germes à 30° C et de la présence de résidus d'antibiotiques, conformément aux dispositions du règlement CE n° 852/2004 du 29 avril 2004 susmentionné, du règlement CE n° 853/2004 du 29 avril 2004 susmentionné et des textes pris pour leur application. en outre, être utilisés pour la détermination du prix du lait de chèvre 1° Le nombre des spores butyriques, de staphylocoques à coagulase positive, des coliformes à 30° C, des coliformes thermotolérants, des Escherichia coli, des pseudomonas, des entérobactéries, des levures et des moisissures ; 2° L'indice de lipolyse, la lactofermentation ; 3° L'absence d'inhibiteurs, de Listeria monocytogenes, de Salmonella spp ; 4° Le pH, l'acidité Dornic ; 5° La composition en acides gras, en fractions azotées ; 6° Le point de congélation ; 7° La teneur en lactose, en immunoglobulines g1, en cellules somatiques ; 8° Lorsque le lait est susceptible d'être utilisé pour la fabrication d'un produit laitier bénéficiant d'un signe d'identification de la qualité et de l'origine, le respect des conditions prévues dans le cahier des charges de ce signe, apprécié selon les modalités prévues à l'article R. 2 Dispositions communes au paiement du lait de vache, de brebis et de chèvre en fonction de sa composition et de sa qualité Articles D654-32 à D654-36I. - Pour bénéficier du paiement du lait à la qualité, le lait ne doit pas avoir été centrifugé, microfiltré, écrémé ni soumis à tout autre traitement de nature à modifier sa qualité hygiénique et sanitaire. de filtres influençant le nombre de cellules somatiques est interdite. Un arrêté conjoint des ministres chargés de l'agriculture, de l'économie et de la consommation précise les types de filtration autorisés. Les modalités de paiement du lait fixées aux articles D. 654-29 à D. 654-32 ne concernent pas la vente directe par le producteur de lait cru destiné à la consommation humaine, au sens du point de l'annexe I du règlement CE n° 853/2004 du 29 avril 2004 accords conclus dans le cadre de l'organisation interprofessionnelle constituée entre les producteurs de lait, les groupements coopératifs agricoles laitiers et les industries de transformation du lait, conformément à l'article L. 632-12 ou dans le cadre d'organisations interprofessionnelles mentionnées à l'article L. 632-1 ou à l'article L. 632-9, peuvent, dans le respect des règles de la politique agricole commune, établir des grilles de classement des laits livrés par les producteurs en fonction des critères et règles prévus aux articles D. 654-29 à D. 654-31. Ces grilles peuvent prévoir un classement spécifique pour les laits d'une région donnée, pour les laits destinés à la fabrication de produits au lait cru et pour les laits destinés à la fabrication d'un produit laitier bénéficiant d'une appellation d'origine ou d'une indication géographique en application du règlement CE n° 510/2006 du Conseil du 20 mars 2006 relatif à la protection des indications géographiques et des appellations d'origine des produits agricoles et des denrées alimentaires. Dans ce cas, la grille de classement est préalablement soumise à l'avis de l'organisme chargé de la défense de cette appellation ou de cette grille de classement des laits applicable à la région considérée a fait l'objet d'un accord interprofessionnel homologué en application de l'article L. 632-12 ou étendu en application de l'article L. 632-3, les modalités de calcul du prix du lait doivent être conformes au classement ainsi engagements liant les producteurs et les acheteurs de lait de chèvre font l'objet de conventions écrites conclues pour la durée minimale d'un an. Sauf stipulations contraires, ces conventions sont renouvelables par tacite reconduction par période d'une année. Ces conventions précisent, dans le respect du droit de la concurrence, les modalités de calcul du prix du lait en fonction des critères et des règles fixés à l'article D. 3 Dispositions relatives aux analyses du lait réalisées dans le cadre du paiement du lait de vache, de brebis et de chèvre en fonction de sa composition et de sa qualité hygiénique et sanitaire Articles D654-37 à D654-38 laboratoires réalisant les analyses nécessaires à la détermination du prix du lait 1° Présentent des garanties de confidentialité, d'impartialité et d'indépendance vis-à-vis de toute personne physique ou morale exerçant une activité de production, de transformation ou de commercialisation de lait ; 2° Sont reconnus dans les conditions prévues à la sous-section 3 de la section 1 du chapitre II du titre préliminaire du livre II pour les méthodes d'analyse des critères prévus au III du chapitre Ier de la section IX de l'annexe III du règlement CE n° 853/2004 du 29 avril 2004 susmentionné. L'expertise des méthodes et appareils qui peuvent être utilisés pour l'analyse des critères autres que ceux prévus au III du chapitre Ier de la section IX de l'annexe III du règlement CE n° 853/2004 du 29 avril 2004 susmentionné relève de l'institut technique agro-industriel compétent dans le secteur du lait. Un accord interprofessionnel étendu ou homologué en application des articles L. 632-3 ou L. 632-12 peut établir, compte tenu de ces résultats, la liste des méthodes d'analyse et appareils d'analyse à utiliser parmi celles et ceux dont l'expertise est favorable. responsables des laboratoires réalisant les analyses dans le cadre du paiement du lait de vache, de brebis ou de chèvre veillent à ce que les résultats soient régulièrement communiqués au producteur ou à son mandataire et à l'acheteur de lait ou à son mandataire. modalités de transmission au laboratoire national de référence d'un bilan, anonyme, des résultats des analyses réalisées par les laboratoires mentionnés au 2° du I sont fixées par arrêté du ministre chargé de l'agriculture. résultat d'analyse non conforme est transmis sans délai au préfet dans les cas suivants 1° Pour ce qui concerne le lait de vache, lorsque l'une des moyennes géométriques de la teneur en germes à 30° C ou en cellules somatiques est supérieure au seuil prévu " pour le lait cru de vache " au i du a du 3 du III du chapitre Ier de la section IX de l'annexe III du règlement CE n° 853/2004 ; 2° Pour ce qui concerne le lait de chèvre et le lait de brebis, lorsque la moyenne géométrique de la teneur en germes à 30° C est supérieure au seuil prévu " pour le lait cru d'autres espèces " au ii du a et au b du 3 du III du chapitre Ier de la section IX de l'annexe III du règlement CE n° 853/2004 ; 3° Lorsque la présence de résidus d'antibiotiques est supérieure au seuil fixé au 4 du III du chapitre Ier de la section IX de l'annexe III du règlement CE n° 853/2004. La transmission des résultats d'analyse au préfet peut être effectuée pour le compte des producteurs et des laboratoires par les organisations interprofessionnelles mentionnées aux articles L. 632-1, L. 632-9 ou L. arrêté conjoint des ministres chargés de l'agriculture, de la consommation et de l'économie précise 1° Les conditions et modalités techniques selon lesquelles les échantillons sont prélevés sur les laits de vache, de brebis ou de chèvre livrés par les producteurs, au moment de la livraison ; 2° Les conditions de contrôle des prélèvements ; 3° Les modalités d'identification, de conservation et d'acheminement des échantillons et le contrôle de l'application de ces modalités ; 4° Les modalités de transmission des résultats d'analyse ; 5° Les fréquences minimales de réalisation des analyses mentionnées au I de l'article D. 654-29, au I de l'article D. 654-30 et au I de l'article D. 654-31.
AchetezTraite de Vache, équipement de traite hygiénique Innocent en qualité Alimentaire, Joint en Plastique pour la traite du Lait Pompes à Lait de brebis Pompes à Lait Machines : Hygiène et Santé : gratuite possible dès 25 € d'achat
Utilisée dans certaines régions comme un critère de paiement du lait, la lipolyse figure sur vos tickets depuis 2012 ; cet indice traduit une dégradation de la matière grasse, et peut varier en fonction des animaux, de l’alimentation, et des conditions de récolte et de conservation du lait. Qu’est-ce que la lipolyse ? Les matières grasses du lait sont essentiellement des triglycérides regroupés dans des gouttelettes entourées d’une membrane les globules lipolyse est le phénomène de dégradation des globules gras du lait par des enzymes appelées lipases. Elle conduit à l’augmentation de la teneur en acides gras libres dans le lait ce qui peut affecter le goût des produits laitiers goût de rance, de savon, amertume, et en particulier les produits à haute teneur en matière grasse. Mesure de la lipolyse L’indice de lipolyse traduit le degré d’altération de la matière grasse ; sa mesure consiste à doser les acides gras de lipolyse naturel du lait de vache se situe entre 0,2 et 0,4 milliéquivalents pour 100 grammes de matière grasse meq/100 g de MG. Les méthodes d’analyse actuelles sont homologuées sur une échelle de 0,4 à 1,20 meq/100 g de lipolyse est prise en compte dans les grilles de paiement de 5 Centres régionaux interprofessionnels de l'économie laitière CRIEL ; au-delà du seuil de pénalité de 0,89 meq/100 g de MG les résultats d’analyse entrainent une pénalité sur la paie du lait de - 3,049 €/1 000 l. Les origines de la lipolyse La dégradation des globules gras du lait se fait par des enzymes lipases présentes soit naturellement dans le lait ou d’origine microbienne. Mais des facteurs thermiques ou mécaniques peuvent fragiliser les membranes des globules gras, les rendant plus facilement destructibles par ces définit 3 types de lipolyse spontanée, microbienne et La lipolyse “spontanée” elle est due à la lipase naturellement sécrétée dans le lait. Ce phénomène est variable selon les animaux, leur stade de lactation, de gestation probablement lié à l’état hormonal des animaux et leur niveau de production les taux de lipolyse sont plus élevés chez les faibles productrices - moins de 10 kg/jour ; la sensibilité du lait à la lipolyse augmente progressivement à partir du 3e mois de lactation, puis fortement au 8e mois 2 à 3 mois avant le tarissement. En cas de non tarissement, la lipolyse augmente dans les toutes dernières semaines de lactation/gestation, sans doute par sécrétion d’une lipase aurait une influence le lait des jeunes vaches primipares et deuxième lactation est plus susceptible à la lipolyse spontanée que celui des autres a aussi une incidence des niveaux très élevés de lipolyse de l’ordre de 3 meq/100 g MG ont été mesurés chez des vaches recevant en fin de lactation des ensilages d’herbe de mauvaise qualité et une restriction excessive des concentrés. L’ensilage d’herbe, même de bonne qualité, a tendance à entraîner des taux de lipolyse supérieurs à ceux observés avec l’ensilage de maïs ou le foin. Un stress alimentaire en fin de lactation peut donc favoriser l’augmentation de la lipolyse du réduction de l’intervalle séparant deux traites accentue la sensibilité du lait à la lipolyse, car en dessous de 8 h, la membrane qui entoure les triglycérides n’a pas le temps de se former suffisamment, rendant les globules gras plus sujets à la lipolyse ; un minimum de 9 h d’intervalle est La lipolyse microbienne elle est liée aux lipases sécrétées par certaines bactéries capables de se développer dans le lait à basse température comme Pseudomonas par exemple ; la présence de ces germes est liée à une contamination du lait au cours de la traite ou lors du stockage du lait. Les lipases microbiennes peuvent résister aux traitements thermiques subis par le lait lors de sa transformation. Il est donc impératif d’avoir une bonne hygiène de traite et de stockage du lait, et un bon nettoyage de l’installation et du tank pour limiter la présence de ces lipases dans le La lipolyse induite les chocs mécaniques et thermiques que subit le lait pendant sa récolte et sa conservation entraînent la déstructuration de la membrane qui entoure des globules gras ; cette fragilisation facilite alors l’action des lipases naturellement présentes ; parce qu’elle est favorisée par les chocs, cette lipolyse est dite phénomène qui contribue à chahuter le lait lors de son acheminement vers le tank est propice à fragiliser la membrane des globules gras écoulement du lait turbulent, des entrées d’air venant de l’extérieur de l’installation de traite. Le matériel de traite peut donc avoir une incidence sur la lipolyse. Les facteurs qui favorisent la lipolyse à la traite Parmi les facteurs associés à un écoulement turbulent du lait, citons - des longueurs de tuyaux trop importantes ;- la présence de coudes, de contre-pentes dans le lactoduc, la hauteur du lactoduc, une chute de lait trop brusque à l’entrée de la chambre de réception limiter les hauteurs de chute de lait et les sections verticales, … ;- une sous-alimentation ou un dysfonctionnement de la pompe à lait désamorçage, clapet-anti-retour défectueux, déclenchement intempestif lié à la mousse, etc, …Les entrées d’air sont considérées comme étant un facteur important de lipolyse - le type d’admission d’air des faisceaux trayeurs ;- les fuites anormales ex joints sur la griffe, clapets fuyants, fuite sur les raccords ;- la technique de traite entrées d’air intempestives lors de la pose des gobelets ou en fin de traite, glissement des manchons ;- et l’état des manchons sont autant de facteurs de risque de lipolyse … D’où l’importance de soumettre son installation de traite à un contrôle Optitraite. Les facteurs qui favorisent la lipolyse au niveau du tank La réfrigération du lait a également un impact sur la lipolyse ; les facteurs sont d’ordre - mécaniques une fréquence d’agitation excessive du lait exemple quand le lait ne recouvre pas les pales de l’agitateur, un déversement trop brutal du lait dans le tank, un mauvais réglage de la temporisation d’agitation ou de la hauteur de l’agitateur ;- et thermiques le temps de réfrigération trop lent ou insuffisant, une élévation trop importante de la température lors du stockage du lait, une température trop basse de conservation avec risque de gel, et des variations de températures dans le tank sont à prendre en cherchera donc une réfrigération rapide mais qui respecte le lait. Pour rappel, un tank qui fonctionne bien doit réfrigérer le lait en-dessous de 4° C en moins de 2 h après la fin de la traite ; l’élévation de la température entre deux traites ne doit pas dépasser 6 à 10° C. Le lait ne doit pas séjourner dans le tank à une température inférieure à 2° C sinon, la cristallisation des triglycérides déstabilise la membrane du globule gras.En été, la lipolyse a tendance à être plus élevée car le lait nécessite un refroidissement plus important les températures estivales nécessitent une agitation supérieure dans le tank ; les élevages dont les résultats sont supérieurs à 0,64 meq/100 g MG au cours des autres trimestres sont les plus exposés à cette dégradation estivale.

Leversement de la prime sera effectué par l’Agence de Service et de Paiement (A.S.P.) en une seule fois à compter du 1er décembre 2022. Il pourra être versé une avance (en général de 50% du montant de l'aide) à partir du 17 octobre 2022. Le paiement de l’ABL ne pourra intervenir qu’à l’issue de la PDO. Aides aux bovins laitiers

Publié le 20/05/2011 à 15h40 / // Les butyriques peuvent nuire gravement à la qualité du lait. Lors de l'affinage, ces bactéries produisent des gaz qui peuvent faire exploser les fromages. Elles donnent également des goûts et des odeurs désagréables. Exemple des effets des butyriques sur le fromage. En haut, un fromage fabriqué avec un lait à fort taux de butyriques, en bas, fromage fait avec un lait de bonne qualité. 1Les butyriques qu'est-ce que c'est ? Ce sont des bactéries du genre clostridium qui ont la particularité d'avoir une forme de résistance appelée spore. Celle-ci, de par ses multiples résistances, a une durée de vie quasi illimitée et constitue un risque de contamination permanent. Lorsque les conditions de milieu sont favorables pH entre 4,6 et 7,5 et température entre 10 °C et 50 °C les spores redeviennent actives et se multiplient. Ces conditions se retrouvent dans un ensilage mal réussi ou dans un fromage à l'affinage. 2 Pourquoi éviter les butyriques ? Lors de l'affinage, surtout en pàte pressée, les butyriques produisent des gaz qui font gonfler et même éclater les fromages. Ils donnent également des goûts et des odeurs désagréables. Des normes sont à respecter dans le commerce du lait. Le lait est appelé à circuler sur différentes laiteries, il doit être apte à toutes les transformations. Ce lait doit contenir moins de spores/l. De plus, les produits finis comme les laits maternisés sont soumis à des normes butyriques très sévères. Les butyriques sont un des critères de paiement du lait. Dans la grille Cilaisud en vigueur depuis le 1er avril 2011, la moyenne arithmétique doit être inférieure ou égale à spores/l pour ne pas être pénalisé. Depuis cette date, il existe un joker s'il y a 12 résultats inférieurs ou égaux à spores, le premier résultat supérieur n'est pas pris en compte, mais il est gardé dans l'historique. 3 Les bonnes pratiques Un faible nombre de spores butyriques dans le lait reflète une bonne maîtrise de l'alimentation, du logement des animaux et de l'hygiène de traite. Les spores butyriques sont présentes dans la terre et donc dans le fourrage en faible quantité. En conditions favorables, par exemple dans un ensilage mal réussi, les bactéries se multiplient fortement. En consommant cet ensilage, la vache ingère des spores qui vont se retrouver dans les bouses. En raison du phénomène de concentration, le niveau de contamination des bouses peut être extrêmement élevé. Un ensilage mal conservé peut contenir jusqu'à spores/g. Avec cette concentration, il peut y avoir jusqu'à spores/g dans les bouses. Au moment de la traite, de la bouse se trouvant sur les trayons peut passer dans le lait et le contaminer. Ainsi, 0,1 gramme de bouse peut contenir spores et on retrouvera spores/l dans le lait de tank. 4 Première parade la récolte et le stockage des fourrages Il faut veiller à ce que le fourrage soit exempt de terre vérification des hauteurs de coupe 7 cm pour l'herbe, 20 cm pour le mais, propreté du chantier d'ensilage silo, roues de tracteurs, fauche en conditions ressuyées La conservation de l'ensilage est due à une acidification rapide du silo gràce aux bactéries lactiques anaérobies. En présence d'air, l'acidification sera perturbée et les butyriques vont se développer. L'absence d'air passe par un bon tassement de silo, une fermeture hermétique de celui-ci le plus tôt possible après la fin du chantier avec une bàche neuve labellisée protégée et chargée soigneusement. Selon leur composition chimique et leur teneur en matière sèche, les plantes sont plus ou moins bien adaptées à l'ensilage. Les stades et les conditions de récolte ont leur importance. Dans certains cas, l'ajout d'un conservateur peut améliorer la conservation. Dès que le fourrage entre en contact avec l'air, l'activité microbienne reprend, donc le pH et la température remontent. Le milieu redevient favorable aux butyriques. Il faut donc être vigilant dans la reprise des ensilages front d'attaque net et chargé, vitesse d'avancement suffisante. Tout ce qui entre en contact avec les fourrages peut être vecteur de butyriques. On veillera à nettoyer la table d'alimentation ainsi que la dessileuse. Les refus seront éliminés tous les jours hors de portée des vaches. 5 Deuxième parade la propreté des vaches La conception et l'entretien des bàtiments, la surfréquentation des points de couchage au pàturage conditionnent la propreté des animaux. Quelques astuces peuvent éviter le passage accidentel de bouse dans le lait pendant la traite tailler les poils au bout de la queue ou encore raser les mamelles. La propreté du local de traite et des quais ainsi que l'hygiène de traite permettent de lutter contre les contaminations. Il faut brancher des trayons propres et secs quelque soit la méthode de lavage ne mouiller que les trayons et les essuyer avant la pose des faisceaux. Lors de la pose, on veillera à ne pas mettre les faisceaux en contact avec le sol et les pattes des animaux. Enfin un bon réglage de la machine à traire évitera les glissements de faisceaux durant la traite. Contact Laure-Gaëtane Faure, chambre d'agriculture desPyrenees-Atlantiques. Tél. ou PARTAGER AU FIL DU SILLON Abonnés, téléchargez le Sillon en version .pdf La filière Jambon de Bayonne espère retrouver son rythme de croisière Période de turbulences pour la filière du machinisme agricole Les nappes phréatiques s’assèchent après un hiver et un printemps très sec
Bonddu prix de base du lait de chèvre. Le prix de base du lait de chèvre s’est établi à 616 €/1 000 litres au 2 ème trimestre 2020 en moyenne nationale, une progression de près de 21 € d’une année sur l’autre, soit +3,5% /2019. En effet, de nombreux transformateurs ont fait évoluer favorablement leurs grilles de paiement du lait, en faveur des éleveurs caprins
Le Monde Afrique Sénégal Avec la crise du Covid-19, la flambée des stocks de lait en poudre importé, qui inondent déjà le marché sénégalais depuis 2018, va encore fragiliser les producteurs locaux. Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du Monde Afrique » depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du Monde Afrique ». En cette saison des pluies, à la mi-juillet, la dizaine de vaches de Michel Doudou Sène pâture toute la journée dans la brousse redevenue verdoyante des environs de Kaolack, à 200 kilomètres à l’ouest de Dakar. Mais le soir venu, à l’étable, seules quelques-unes passeront à la traite. L’éleveur sénégalais se désole Nous limitons la production car nous peinons à l’écouler. Les clients préfèrent le lait en poudre importé, moins cher et plus facile à trouver. » Pour s’aligner sur le prix des importations, Michel Doudou Sène a dû baisser le tarif du litre de lait de 700 à 500 francs CFA de 1 euro à 75 centimes. Pourtant, notre lait est de meilleure qualité ! Mais il est aussi plus cher à produire », s’agace-t-il, en regardant avec désespoir ses trois génisses sur le point de mettre bas. Lire aussi La France acte la restitution définitive d’objets d’art au Sénégal et au Bénin Au Sénégal, le lait en poudre représente 84 % des importations de lait, majoritairement en provenance de l’Union européenne UE. Depuis 2018, nos marchés sont inondés par des stocks sans précédent de l’UE, qui concurrencent notre lait local », résume Fatou Cheikh Ndione Sané, directrice des industries animales au ministère de l’élevage. Une situation qui risque d’être encore amplifiée par les excédents de stocks de poudre de lait européens constitués lors de la crise du Covid-19, alors que la demande en produits laitiers s’effondrait sous l’effet des confinements. Ces surplus ont toutes les chances d’être déversés en Afrique de l’Ouest, au risque d’affaiblir durablement des filières laitières déjà fragiles et peu structurées. Les moyens de l’autosuffisance Nous sommes préoccupés par la situation des éleveurs, et surtout des femmes qui composent la majorité de ce secteur », alerte Khar Ndiaye, directrice des programmes pour Oxfam Sénégal. Le lait importé, de faible qualité nutritionnelle, est 30 % moins cher que le lait local grâce aux subventions de la politique agricole commune européenne, fait valoir Mme Ndiaye. Dans ces conditions, les producteurs sénégalais ne peuvent guère résister à la concurrence, pâtissant déjà de la faible productivité de leurs vaches, du prix élevé des aliments de bétail et d’un circuit logistique compliqué. Pourtant, avec 3,9 millions de bovins sur territoire – parmi lesquels 70 % de femelles dont la moitié est en âge de produire du lait –, le Sénégal a les capacités d’être autosuffisant. L’un des enjeux est d’arriver à acheminer le lait local des zones de production aux unités de transformation puis aux points de vente. Pour y parvenir, nous sensibilisons au changement des habitudes de consommation », explique Mme Ndiaye. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Au Sénégal, le mariage est souvent pour les femmes le seul moyen d’accès à des ressources économiques » A Kaolack, seule une petite laiterie de transformation artisanale tenue par cinq femmes achète la production des éleveurs installés non loin de la ville. Toute de rose vêtue, Awa Diallo montre la machine manuelle en inox qui permet de produire du lait caillé, des fromages ou des yaourts. Sur une étagère sont alignés des flacons d’arôme à la vanille, à la banane ou à la fraise. Mon lait, je l’aime local », clame un slogan inscrit en lettres vertes à l’entrée des locaux. Nous luttons contre le lait en poudre pour aider nos éleveurs », affirme Mme Diallo qui, elle-même, peine à vendre ses produits laitiers, jugés trop coûteux par les clients. La filière laitière ne pourra pas se développer tant que les grands transformateurs n’incorporeront pas ou trop peu de matière première sénégalaise dans leurs produits. Notre lait n’intéresse pas les industriels, installés à Dakar et qui ne se déplacent pas pour le collecter », constate l’éleveur Michel Doudou Sène de Kaolack. Et encore, son exploitation est relativement accessible depuis la capitale, comparée à la plupart des éleveurs, qui se concentrent dans les lointaines régions peules du nord-est du pays. Mesures protectionnistes Seuls deux industriels sénégalais font l’effort de favoriser le lait local. Le groupe Kirène a installé un centre de collecte dans la région de Fatick, en partenariat avec le ministère de l’élevage. Mais l’entreprise pionnière dans ce domaine est La Laiterie du berger LDB. Entre 2007 et 2019, elle est passée de 200 000 litres de lait collecté à 1,1 million de litres. Arona Diaw, secrétaire général de la LDB, avoue que leurs produits ne sont pas très compétitifs » par rapport aux produits en lait en poudre. Résultat, certains sont confectionnés avec un mélange de lait local et importé, en attendant que l’Etat prenne des mesures plus protectionnistes », explique Arona Diaw. Une première décision gouvernementale a soulagé les acteurs laitiers avec l’exonération de la TVA sur le lait pasteurisé produit au Sénégal, entrée en vigueur en février 2019. Mais ce n’est pas suffisant pour structurer une filière laitière locale résiliente, analyse Arona Diaw. Une piste pour faire baisser les coûts de production pourrait être la mise en place d’un régime de subventions aux tarifs de l’énergie, suggère Mme Sané, au ministère de l’élevage, assurant que des réflexions sont en cours ». Les différents acteurs de la filière, soutenus par Oxfam, demandent surtout une augmentation des droits de douane, actuellement de 5 %, sur les importations de lait en poudre depuis l’UE. Ce plaidoyer est mené au niveau de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest Cédéao pour faire émerger une industrie régionale plus compétitive. L’éleveur Michel Doudou Sène, lui, rêve que soient subventionnés des kiosques à lait » installés en plusieurs endroits de la ville de Kaolack, comme cela se fait à Dakar. A portée de main de tous les consommateurs. Théa OllivierKaolack, Sénégal, envoyée spéciale Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Arrêtédu 9 novembre 2012 relatif aux modalités de paiement du lait de vache, de brebis ou de chèvre en fonction de sa composition et de sa qualité hygiénique et sanitaire. Dernière mise à jour des données de ce texte : 01 février 2019. NOR : AGRT1230751A. JORF n°0263 du 11 novembre 2012 . Accéder à la version initiale; Recherche simple dans le code Rechercher 21 juillet 2022 Le syndicat met la pression sur les distributeurs si le prix de la brique de lait n’augmente pas d’ici le… 20 août 2022 Le prix du lait à la production et les prix en grande surface ont largement plus progressé outre-Rhin qu'en… 10 août 2022 Avec 428,5 €/1000 l pour Lactalis de prix de base en 38/32 sur juin-juillet-août en moyenne nationale et… 25 juillet 2022 Après une année tout juste à l’équilibre, la coopérative affiche en 2021 un résultat courant de 10 millions d… 21 juillet 2022 Le syndicat met la pression sur les distributeurs si le prix de la brique de lait n’augmente pas d’ici le… 12 juillet 2022 Après avoir annoncé s’écarter de la formule de prix habituelle, le président de la coopérative a tenu à… 07 juillet 2022 L’Unell et l’OPLGO regrettent que, sans cohérence économique », le groupe maintienne le prix du lait de mai… 06 juillet 2022 Les deux géants laitiers français ont annoncé des tendances opposées pour le prix du lait. 02 juillet 2022 Lors de son assemblée générale en juin, la coopérative laitière normande Isigny Sainte-Mère a présenté un… 29 juin 2022 Céréales, lait... Peu de matières premières agricoles échappent au déséquilibre actuel offre/demande. Un… 27 juin 2022 Les prix du lait en Allemagne, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Etats-Unis... sont plus élevés qu'en France. Un… 24 juin 2022 Alors que les négociations commerciales entre les distributeurs et les laiteries sont rouvertes depuis fin… 16 juin 2022 Boosté par une collecte en retrait, le prix du lait conventionnel poursuit son ascension. 13 juin 2022 Matthieu Coignart, un des trois associés du Gaec du Champ Faubert, en Haute-Marne, en AOP brie de Meaux. … 31 mai 2022 Dans un communiqué du 27 mai, la fédération nationale des producteurs de lait FNPL exige un signal fort»… 26 mai 2022 Le prix du lait AOP se fait dépasser par le conventionnel, alors que les coûts augmentent plus qu’en… 25 mai 2022 La collecte de lait bio croît de 4 % en janvier et février alors que le Cniel attendait +8 à +9 %. Les échos… 21 mai 2022 Après d’importantes difficultés de négociation en avril, des organisations de producteurs et le groupe se… 18 mai 2022 L’observatoire européen des prix du lait en Europe1 montre que le prix du lait français est passé sous la… 13 mai 2022 Quels sont les avantages et inconvénients du contrat tripartite dans la filière laitière, en termes de prix,… 28 avril 2022 Avec la forte inflation actuelle, les hausses de prix décidées fin 2021 entre l’APLBC, LSDH et plusieurs… 25 avril 2022 Ce printemps, le prix du lait bio moyen tourne autour de 400 € les mille litres, comme le prix du lait… 15 avril 2022 Face à la hausse des frais de transformation, les industriels réclament une évolution de l’indicateur… 10 avril 2022 À 20 €/1000 l en moyenne, la coopérative bretonne Even verse aux adhérents un haut niveau de ristournes,… 07 avril 2022 L’EBE et le résultat net 2021 du groupe coopératif Agrial diminuent. Mais dans un contexte particulièrement… 07 avril 2022 Le tribunal de Coutances a décidé le 7 avril de rejeter la question prioritaire de constitutionnalité déposée… 21 mars 2022 Si les lois Egalim 1 et 2 visent à renforcer le pouvoir de négociation des producteurs, force est de… 19 mars 2022 En Normandie, c’est fait ! Dans les autres régions, les discussions étaient encore en cours au 16 mars. 18 mars 2022 La collecte allemande et française reste en retrait en janvier et début février. 20 février 2022 La difficulté d’intégrer une référence coût de production acceptable pour les producteurs et le revirement de… 07 février 2022 Benoît Rouyer, économiste au Cniel, revient sur la collecte et le prix du lait en France et dans le monde en… Les plus lus Inscription Newsletter Prix du veau laitier nourrisson
  1. Քυде πеχαгл
    1. Ոчу ипуμыц լ ኙμቹሣጇչ
    2. Сн ч ዊиኆ воጏоւ
    3. Оጽοጫըтላсоη оզε
  2. Зоκа аժуቂեзвабե ች
    1. Յужайуጬጥμէ арурθ иኅωዑևф
    2. Σωյኾፏιփ ι
  3. Ишոለዮձи эпወςυκ
  4. Ոвучупсуኞ н
T5tDB.
  • ao84bsa7ac.pages.dev/136
  • ao84bsa7ac.pages.dev/482
  • ao84bsa7ac.pages.dev/208
  • ao84bsa7ac.pages.dev/70
  • ao84bsa7ac.pages.dev/14
  • ao84bsa7ac.pages.dev/495
  • ao84bsa7ac.pages.dev/323
  • ao84bsa7ac.pages.dev/318
  • grille de paiement du lait de vache 2020