AccueilChaussures & accessoires Sacs Sacs Ă  dos McKINLEY Sacs Ă  dos. McKINLEY Sacs Ă  dos. Filtre. Filtre. 10767 produits. Appliquer le filtre. Produits et prix 10767 Produits . Filtre. PopularitĂ©. Choisissez les produits Ă  comparer. Comparer. RĂ©sultats incluant 10767 produits et 236 marchands parmi les offres disponibles sur le marchĂ©, rĂ©fĂ©rencĂ©s Ă  titre gratuit ou payant. Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirs Salle sur DemandeHugh DeyLĂ©gendeGryffondor Re Dans la salle de Dey, le Mer 27 Mai - 1806 J’attendais qu’une chose que Kholov arrive, et vite. Je me sentais pas du tout Ă  ma place. J’étais tout mouillĂ©, y avait trop de bruit et je voulais pas boire. Parce que le whisky m’avait fait du bien, mais comme maintenant y avait de l’eau dans le verre, ça servait plus Ă  rien. Je reposais le verre et j’essayais tant bien que mal de comprendre la logique de cette McKinley indiqua que c’était fini, qu’il fallait tout ranger, et ça m’arrangeait bien. Moi je regardais Noah et Winderfelt comme pour essayer de trouver une cohĂ©rence. Je ne pouvais qu’appuyer ses gestes quand il faisait les gros yeux sur le bambin dĂ©guisĂ© en flic. Et heureusement, Kholov arriva. Je devais avoir une sale tronche, avec de la poudre colorĂ©e, mais le voir comme ça dans l’encadrement de la porte Ă©tait rassurant. D’autant plus qu’il avait fait taire tous les gosses. Le silence me faisait un bien fou. Tout dĂ©goulinant, j’allais le voir, parce qu’il le mĂ©ritait. Pis du coup je faisais un peu comme il avait dit aux Ă©lĂšves, sauf que moi je lui tendais la main, dans l’espoir qu’il me la serre. Bonsoir M’sieur. Content que l’armoire Ă  glace soit venu vous prĂ©venir, j’avais trop peur qu’ils se barrent avant votre arrivĂ©e. On a fait ce qu’on a pu pour les canaliser. Vous leur prĂ©voyez quoi comme punition ? Parce que du coup va falloir qu’on se mobilise pour marquer le coup dans tous les esprits. » InvitĂ© Re Dans la salle de le Mer 27 Mai - 1855 Alors comme ça on vient s'amuser en se cachant dans le moindre recoin et puis on fout la Mer** dans la soirĂ©e car on ne s'assume pas ? Pourquoi vous ĂȘtes lĂ  ? - Pour t'empĂȘcher de faire une connerie plus grosse que toi. » ThĂ©odore apprĂ©ciait le jeune homme, mais par moment celui-ci se rĂ©velait-ĂȘtre vĂ©ritablement insupportable. C'Ă©tait le cas en ce moment mĂȘme. Allait-il arrĂȘtĂ© tout ce bazar de lui mĂȘme ou l'enseignant allait-il devoir sortir les grands moyens ? Non, l'aiglon semblait ĂȘtre revenu Ă  la raison. Il invita les Ă©lĂšves prĂ©sent Ă  s'en aller. Lançant un regard appuyĂ© vers Leister comme pour le fĂ©liciter de sa dĂ©cision, le jeune homme, en revanche, l'observa presque mĂ©chamment. Certes, ce n'Ă©tait pas plaisant de se faire rappeler Ă  l'ordre, mais l'enseignant faisait ça pour eux. Du peu qu'il avait vue de Kholov, il ne fallait pas le chercher. Le professeur pointa sa baguette vers son propre corps pour lancer un Consectetuer Dryer avant de vĂ©rifier si sa cape d'invisibilitĂ© n'avait pas Ă©tĂ© abĂźmĂ© par l'eau et les paillettes. Non, tout allait bien. Ou pas. Le directeur venait de pĂ©nĂ©trer dans la piĂšce, le silence se fut immĂ©diatement grĂące Ă  un sortilĂšge du russe. Quelle belle brochette d'infractions au rĂšglement – Je n'vous l'fais pas dire. » Marmonna ThĂ©odore dans sa barbe inexistante de façon inaudible. Son regard d'Ă©meraude s'arrĂȘta sur les Ă©lĂšves qu'il connaissait. Shela notamment. Puta**. Bonsoir M’sieur. » Hugh venait de s'avancer vers le directeur pour calmer son avis sans doute nĂ©gatif sur le personnel prĂ©sent. Pour la premiĂšre fois de cette soirĂ©e, il le trouva intelligent. ThĂ©odore avait bien vue le regard que Kholov lui avait lancĂ©, et il l'avait soutenu sans dĂ©tourner le regard. Et puis quoi encore ? Il avait franchement une tĂȘte Ă  faire la fĂȘte avec des adolescents ? Tss. L'ancien serpentard pouvait accepter de se faire passer pour beaucoup de chose tant que c'Ă©tait pour sa cause, mais lĂ  il Ă©tait hors de question qu'il passe pour le lĂšche botte qui a quelque chose Ă  se faire pardonner. Il avait fait son boulot, que ça plaise ou non au dirlo. Ses yeux verts se reposĂšrent sur le jeune Leister qui faisait sĂ»rement moins le malin Ă  prĂ©sent. T'es fiĂšre de toi ? » Marmonna t-il dans sa direction avant de slalomer entre les diffĂ©rents Ă©lĂšves. Qu'allait dire Noah pour justifier sa prĂ©sence ? Peut importe. Une fois prĂšs de Hugh, le français ne prit pas la peine d'adresser un mot au directeur. Il n'avait rien Ă  se reprocher, alors il n'ajouterai rien aux mots du concierge. Ses yeux se tournĂšrent vers les Ă©lĂšves, la moitiĂ© d'entre eux Ă©taient en maillot de bain. C'Ă©tait du grand n'importe quoi. Cependant, comme expliquĂ© plus tĂŽt, ThĂ©odore Ă©tait beaucoup plus pĂ©dagogue que tortionnaire. Le brun releva donc son regard vers Kholov pour s'adresser Ă  lui cette fois-ci. J'ai parlĂ© Ă  l'organisateur de la soirĂ©e qui se dĂ©noncera certainement de lui mĂȘme. Il avait prit, avant que vous n'arriviez, la dĂ©cision d'arrĂȘter les festivitĂ©s. Il a comprit son erreur, les autres aussi certainement. - Tout en disant ses mots, le jeune homme avait lancĂ© un regard sĂ©vĂšre en direction des adolescents. ; peut importe si le dirlo prenait ses mots en compte ou se contenterai de punir sĂ©vĂšrement les gosses, aux yeux de l'enseignant ce genre de comportement mĂąture, mĂȘme s'il arrive trop tard, Ă©tait toujours Ă  noter. Hugo MourlevatPoufsouffle Re Dans la salle de Mourlevat, le Mer 27 Mai - 1910 Morgan s'ennuyait beaucoup. Vous parlez d'une soirĂ©e, il avait personne Ă  qui parler. Du coup le Blaireau resta dans son coin, un verra dans le main, le sac de craie balancĂ© un peu plus loin. Bah ouais, fallait pas trop s'encombrer de trucs inutiles. Il buvait en silence, fixant vaguement devant lui, attendant que quelqu'un vienne lui parler. Bien sĂ»r, il ne peut empĂȘcher un rictus dĂ©goĂ»tĂ© lorsque Bennet dĂ©boula dans la salle. Heureusement, de lĂ  oĂč il Ă©tait elle ne sembla pas le voir. Tant mieux, au moins il passerait une soirĂ©e tranquille. Le Jaune et Noir hĂ©sita mĂȘme un instant Ă  rentrer au Terrier. Mais il se dit que peut-ĂȘtre quelqu'un d'intĂ©ressant allait se pour ĂȘtre intĂ©ressant, c'est vrai qu'il Ă©tait intĂ©ressant le Kholov. Surtout qu'il ne l'avait pas vu v'nir celle-lĂ . Qui Ă©tait le c*n qui Ă©tait allĂ© prĂ©venir le dirlo ? Valait mieux pas que le Blaireau dĂ©couvre le responsable, sinon il allait passer un salle quart d'heure. Le PrĂ©fet lança son verre derriĂšre lui, quitte Ă  Ă©borgner quelqu'un, il prĂ©fĂ©rait faire semblant d'ĂȘtre sobre. D'ailleurs, il en profita pour redonner son aspect Ă  sa robe de sorcier et se recoiffa rapidement en passant une main dans ses cheveux. Le benjamin Delaube Ă©tait vraiment mal, surtout qu'il Ă©tait prĂ©fet, du coup ça la foutait mal de se retrouver lĂ . Bon bah y'avait plus qu'une seule solution, jouer le jeu et se faire le plus discret possible. Le Poufsouffle vit Dey s'avancer pour aller serrer le main de SergeĂŻ... Il Ă©tait vraiment stupide celui-lĂ , il voulait pas non plus le prendre dans ses bras et lui faire un bisou eskimo ? Ne sachant plus quoi faire, le nĂ©-moldu se rapprocha du dirlo par un cĂŽtĂ©, essayant encore d'ĂȘtre discret, parce que bien sĂ»r, fallait qu'il soit devant la porte, le russe. Le septiĂšme annĂ©e dĂ©cida de ranger sa baguette dans sa manche, pour paraĂźtre mon "menaçant" et tenta la technique de la tĂȘte du chien battu. Avec un peu de chance, il pourrait sortir de la salle sain et sauf, et n'Ă©coper que d'un retrait de points. Y'avait plus qu'Ă  espĂ©rer. Shela DiggleSerpentard Re Dans la salle de Diggle, le Mer 27 Mai - 2057 EcoutĂ© pour Ă©crire ce texte 3 J'eu Ă  peine le temps d'arriver au bar qu'une Ă©norme vague aspergea tout, y compris la bouffe dĂ©sormais gĂąchĂ©e, l'alcool des convives bousillĂ© avec bien trop de solvant et mes cheveux dĂ©sormais plats. Je haussais les Ă©paules, dĂ©bouchais une bouteille au hasard et bu au goulot, jusqu'Ă  en n'en plus pouvoir. Reposant la bouteille, le sol tangua un moment avant de se stabiliser, et, gardant ma boisson Ă  la main, me dirigea vers mon sac de poudre. La musique envahissait tout, jusqu'au plus profond de nos Ăąmes, comme si elle voyait tout, tout tout tout. J'attrapais mon sac et pris une bonne poignĂ©e de sable rose, que j'envoyais au visage de la premiĂšre personne Ă  se prĂ©senter Ă  moi avant d'avaler une nouvelle dose bien trop importante d'alcool. Cette fois-ci, l'environnement mit bien plus de temps Ă  redevenir normal. Je sentais l'adrĂ©naline s'emparer de mon corps, et l'effet de perdre le contrĂŽle grisait mes sens. Je n'entendais plus que la musique, rythmant ma descente par des basses rĂ©sonnant dans tout mon ĂȘtre, comme un deuxiĂšme coeur. Magnifique. Je ris, replongeais ma main dans le sac, transforma tout ceux qui passaient Ă  proximitĂ© en de gros bisounours rose bonbon. Certains semblaient pratiquement dĂ©vĂȘtus. C'beau la jeunesse, hein, on fait pas un gang bang lĂ . Beaucoup sautaient aussi, bras tendus en l'air, en rythme avec les basses. Je trouvais que ma bouteille se vidait bien trop vite, et retournais au bar, en sautillant allĂšgrement. Mes sens Ă©taient perdus, sauf l'ouĂŻe, et je savais que j'n'avais plus longtemps avant d'ĂȘtre bourrĂ©e. J'avais dĂ©jĂ  vite coupĂ© court au passage "pompette". J'le souhaitais. M'Ă©chapper. Que la vie perde son sens sans musique. Que ma vue soit atrophiĂ©e. Mon assurance au-dessus de tout. Ma mĂ©moire Ă©vanouie, pour le passĂ© comme le prĂ©sent pour plus tard. Que je ne puisse plus penser. La deuxiĂšme bouteille tomba de mes doigts avant que je puisse avoir l'idĂ©e de la retenir. Hahaha, Ă©norme ! FĂȘte de malade. Faudra remercier les gens, hein, surtout l'organisateur, le petit gars de la Laponie, lĂ . Le fils du PĂšre NoĂ«l ! Je gloussais. Bouh. Le sol. Il taaannngue... Est-ce que je parlais ? Ou pensais-je ? On s'en contre-fiche, de toute maniĂšre. Danser danser danser. BĂȘtement, sauvagement. J'entend plus rien. Que la musique. GĂ©nial. Et puis j'tombe sur un bisounours Ă  quatre pattes, et je manque de tomber. Heureusement qu'il me prend dans ses bras. - Saluut l'bisounours ! ris-je, tu viens de me sauver lĂ ...Elle - oui, une bisounounours quoi - semblait trĂšs heureuse de m'avoir aidĂ©. Et pis elle s'en alla, me laissant divaguer un peu. Une parcelle de mon esprit m'ordonna de cesser tout de suite, ce qui me fit dĂ©duire que justement, je n'en avais pas pris assez. OĂč Ă©tait ce Gryffon de dealeur ? C'quoi son nom dĂ©jĂ ... Me prit une envie d'embrasser tout le monde, et pas que timidement. Non, chut. Pas de gang bang, on s'rappelle ? Mmh... C'bouge beaucoup, entre les gens qui dansaient, sautaient, la poudre de partout, la musique qui flottait et nuançait l'air, l'eau qui glisse, les murs qui dansaient, tout ça. Pis les bouts de fer qui se baladent par terre aussi, c'est nul, ils m'embĂȘtent ceux-lĂ . J'm'Ă©loigne, marche plutĂŽt droit, ris, heureuse de mon exploit, et une puta** d'explosion se fait entendre, un gros truc rouge s'envole et je danse avec lui, mĂȘme si j'ai faillis tomber, sur le coup. Wouah. Super soirĂ©e. Et d'un coup, super soudain, beaucoup trop vite, plus rien. Fait noir comme avant, et j'entend plus rien comme avant, sauf que lĂ , j'entend plus la musique non plus. - Stoooop on r'fait quoi lĂ , bande de nuls ? Et puis une silhouette sur laquelle je peux poser non pas un nom, mais une Ă©motion. Haine. Ce gars-lĂ , j'l'aime pas. Du tout. C'est l'vieux qui a remplacĂ© la pauvre directrice. Et il a arrĂȘtĂ© MA MUSIQUE. Le dĂ©bile. Il allait tĂąter du bĂąton. Et un Hugh - un nom ! - s'avança, puis ThĂ©o. J'entendais rien du tout, j'tais bien, dans mon p'tit trip. Mais une partie de mon cerveau avait enregistrĂ© un bout des paroles profĂ©rĂ©es, et le mot "brochette" m'amusa bien. C'Ă©tait un comique, ce directeur. J'comprenais pas les tĂȘtes d'enterrĂ©s de la plupart des gens ici. Certains en maillots, d'autres habillĂ©s, beaucoup en rose, violet, vert et orange. Marrant mĂ©lange. La salle est belle. Et puis je me reconcentre. Ce c** vient de gĂącher la soirĂ©e. Il va regretter, c't'idiot. Sauf que j'ai perdu ma baguette. Il m'semble que j'suis toujours en licorne, mais bon, ça peut ĂȘtre menaçant, une licorne. Alors je m'avance avec une poignĂ©e de poudre et m'avance un tout petit peu, l'air le plus sĂ©rieux possible. - C'est nul les brochettes, d'abord ! Et je lance ma poudre en espĂ©rant bien ĂȘtre suivie dans mon mouvement. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Dans la salle de Parker, le Mer 27 Mai - 2226 Globalement Ashton passait une soirĂ©e plus bonne. Il Ă©tait dans le jacuzzi, avec Lizzie Ă  prĂ©sent, et avait filĂ© ses kiwicots Ă  Leister. Dire qu'il lui avait mĂȘme pas fait payĂ©, c'Ă©tait Ă  force de frĂ©quenter des Pouffys ça ! Il allait devenir gĂ©nĂ©reux et c'Ă©tait pas vraiment sont genre. Le Serdaigle lui demanda tout de mĂȘme de lui rappeler le prix de tout ça aprĂšs, y avait pas Ă  dire c'Ă©tait un bon client. L'organisateur de la soirĂ©e prit l'excellente initiative de mouiller tout le monde prĂ©sent avait de dĂ©clarer la meilleure chose du monde aux yeux du Et je vous invite Ă  tous prendre un verre sur le bar. C'est ma tournĂ©e !Le sang-mĂȘlĂ© sortit donc du jacuzzi - puisque tout le monde Ă©tait mouillĂ© ça ne changeait plus grand chose de toute façon - pour se diriger vers le bar. Il choppa une bouteille d'un alcool inconnu mais qui ferait largement l'affaire et but quelques gorgĂ©es. Ashton rĂ©ussit Ă  chopper un peu de kiwicot, qu'il avala aussitĂŽt. Comme c'Ă©tait lui qui avait ramenĂ© la marchandise il avait bien le droit d'en prendre, et puis en plus c'Ă©tait en libre service et il Ă©tait Ă  peu prĂšs sĂ»r d'avoir vue Lizzie en prendre. Il eut soudainement l'impression de se retrouver sur un petit nuage et la musique rajoutait Ă  l'ambiance. Prenant de la poudre orange dans les mains, il la lança en l'air et regarda le tout retomber sur les personnes prĂ©sentes avec un air Ă©bahi. Ils Ă©taient quand mĂȘme plus beaux comme ça les gens, ils pouvaient le remercier. Apparemment, Winderfelt avait pas l'air super joyeux, c'Ă©tait dommage car s'il venait Ă  une fĂȘte c'Ă©tait pour s'amuser pas pour faire la g**ule. Bennet avait disparu de la circulation au milieu de tout ce bazar et Ashton n'avait aucune idĂ©e d'oĂč elle avait bien pu alors que Leister annonça Ă  tout le monde que la soirĂ©e s'arrĂȘtait lĂ , pour Ă©viter les ennuis. C'Ă©tait vraiment pas sympa de sa part, ils avaient Ă  peine commencĂ© la soirĂ©e c'Ă©tait pas cool de stopper tout en cours de route. Bof, en tout cas ça empĂȘcherait pas le Gryffondor de continuer Ă  s'amuser. Il but encore quelques gorgĂ©es dans sa bouteille et leva les bras sur le rythme de la musique. Sauf qu'un gars pas trĂšs sympa fit son arrivĂ©e et cassa toute l' Kholov, le directeur de Poudlard. Et Ashton Ă©tait Ă  peu prĂšs certain qu'il avait pas Ă©tĂ© invitĂ© celui-lĂ . Du coup il arrĂȘta de danser et jeta quelques regards aux alentours. Les autres Ă©lĂšves se rendaient peu Ă  peu compte de la prĂ©sence du russe et tout le monde se calma. Le Lion dĂ©cida de faire profil bas et mis les deux mains derriĂšre son dos pour cacher la bouteille qu'il tenait, histoire de s'en dĂ©barrasser discrĂštement quand il le pourrait. Heureusement pour lui il avait pris assez peu de kiwicot et supportait Ă  prĂ©sent beaucoup mieux les effets qu'au dĂ©but. Il parvint donc Ă  se maĂźtriser sans trop de difficultĂ© mais ce n'Ă©tait pas le cas de tout le dit quelque chose comme quoi les adultes surveillaient la fĂȘte, essayaient de la stopper, ou quelque chose comme ça. A peine hypocrite si vous voulez l'avis d'Ashton. Et puis ThĂ©odore s'empressa de renchĂ©rir tandis que Shela, soit complĂštement bourrĂ©e soit sous l'emprise du kiwicot, lança de la poudre en l'air pour relancer l'ambiance. Parker se garda bien de suivre cet exemple et se contenta de ne pas bouger en espĂ©rant disparaĂźtre sur place. InvitĂ© Re Dans la salle de le Jeu 28 Mai - 1556 Lyria avait tergiversĂ© tout au long de la soirĂ©e. Chaque minutes qui passaient la faisait ce sentir idiote, la brune Ă©tait restĂ©e figer dans son coin Ă  regarder tout le monde s'amuser. MalgrĂ© tout, comme si elle espĂ©rait que quelqu'un lui parle, la jeune femme Ă©tait restĂ©e lĂ , ne bougeant que pour rĂ©cupĂ©rer de quoi boire. Malheureusement le cƓur n'y Ă©tait pas, et mĂȘme la bonne dose d'alcool en tout genre n'avait pas rĂ©ussit Ă  la dĂ©rider, elle avait mĂȘme Ă©tĂ© tenter de prendre le kiwicot qui circulait dans cette soirĂ©e, mais avant d'ĂȘtre vraiment sure de ce qu'elle voulait, Leister demanda Ă  tout le monde de filer. Le directeur Ă©tait sur le point d'arriver, malgrĂ© son envie de fuir rapidement, la jaune et noire suivit le mouvement et aida Ă  ramasser ce qui se trouvait autour d'elle, comme pour tenter de faire paraĂźtre la fĂȘte plus calme qu'elle n'Ă©tait en train de le devenir. La sorciĂšre n'avait eu le temps que de remettre des chaises dans un coin quand un soudain silence se fit dans la piĂšce. Elle ne comprit pas de suite pourquoi, mais lorsqu'elle vit, non loin d'elle et de la porte du coup, le directeur, elle ne put s'empĂȘcher de se maudire. * Puta** !! J'aurais du partir aussitĂŽt ! Ou mieux ne pas venir de tout comme je le pensais au dĂ©part.. D'une je me suis sentie Ă©trangĂšre Ă  chacun d'eux et de deux SergeĂŻ qui se pointe ! *De frustration, la jaune et noire donna un coup de pied dans l'une des bouteilles qui Ă©tait par terre. Elle entendit vaguement la prise de parole d'un des membres du chĂąteau et ne put s'empĂȘcher de lĂącher un petit rire sarcastique. Lyria vit aussi que son prĂ©fet se rapprochait du directeur comme s'il voulait se faire bien voir. L'acte du jeune homme exaspĂ©ra d'autant plus la sorciĂšre, qui le fusilla du regard, chose inutile vue qu'il ne pouvait le voir, mais certains gestes Ă©taient non contrĂŽlĂ©s. L'instant d'aprĂšs elle regarda, choquĂ©e mais aussi avec amusement, une jeune femme jeter de la poudre en l'air et rĂ©pliquer au Russe que les brochettes Ă©taient nulles.. *Elle ne manque pas de cran, mais risque de s'attirer encore plus d'ennuis, je devrais peut ĂȘtre... *La septiĂšme annĂ©e passa discrĂštement sur le cĂŽtĂ© pour rejoindre le groupe d'Ă©lĂšve face au corps enseignant. Une fois avec les autres elle commença Ă  tendre le bras comme pour ramener la fille dĂ©guisĂ© en licorne vers leur groupe. InvitĂ© Re Dans la salle de le Jeu 28 Mai - 2125 A peine avait-il annoncĂ© la fin de la soirĂ©e, qu'un non-invitĂ© d'honneur atterrit dans la piĂšce. Ce n'Ă©tait pas une personne banale, un copain de tous les jours, un beau gosse... Non, c'Ă©tait le directeur de Poudlard, le dĂ©nommĂ© Kholov, Koko pour les intimes. Leister avait commencĂ© Ă  boire une gorgĂ©e du fameux breuvage au Kiwicot qu'il avait prĂ©parĂ© avant de voir la silhouette se pointer. Il recracha le tout de surprise et d'Ă©tonnement et lĂącha tout ce qu'il avait en mains pour se rendre le plus innocent possible. Que faire ? Se cacher derriĂšre quelqu'un ? Sortir en douce sans se faire repĂ©rer ? Mais il n'eut pas le temps de dire Quidditch que le vieux s'adressa Ă  la populace prĂ©sente dans la piĂšce. Quelle belle brochette d'infractions au rĂšglement Non respect du couvre-feu, rassemblement de plus de trois Ă©lĂšves, consommation d'alcool... Je ne veux pas entendre d'excuses, explications ou quoi que ce soit de la sorte. Cela ne m'importe pas, je ne me prĂ©occupe que des faits. Vous enfreignez les rĂšgles, vous en payez les consĂ©quences. C'est aussi simple que ça. Vous allez arrĂȘter immĂ©diatement ce que vous ĂȘtes en train de faire et venir calmement vers que le dirlo citait les infractions, Leister les comptait en mĂȘme temps sur les doigts de sa main gauche. A chaque doigt dĂ©pliĂ©, il faisait une tĂȘte d'Ă©tonnĂ©. Au troisiĂšme, il fit une moue dubitative emplie de malice. Il Ă©tait dans un sacrĂ© pĂ©trin et pensa Ă  un moment se voir virer de l'Ă©cole de sorcellerie. La partie la plus intĂ©ressante c'est qu'il ne voulait pas entendre d'excuses, ni d'explications, ou autres choses. Ca tombait bien puisqu'il ne comptait pas en fournir au vieux croĂ»teux qui Ă©tait vieux jeux. Par contre, il ne comprenait pas la fin de l'intervention. Pourquoi voulait-il qu'on s'approche de lui calmement ? Et c'est lĂ  qu'une pensĂ©e amusante passa dans la tĂȘte du minot * Tout le monde Ă  poil et on se mĂ©lange * s'amusa-t-il Ă  penser. Il allait Ă  peine faire un pas un avant que le concierge prit la parole. Bonsoir M’sieur. Content que l’armoire Ă  glace soit venu vous prĂ©venir, j’avais trop peur qu’ils se barrent avant votre arrivĂ©e. On a fait ce qu’on a pu pour les canaliser. Vous leur prĂ©voyez quoi comme punition ? Parce que du coup va falloir qu’on se mobilise pour marquer le coup dans tous les esprits. »* Mais quel hypocrite cet homme. Un moins que rien... Un concierge quoi * fulmina Leister intĂ©rieurement. Il avait juste envie d'Ă©triper ce malotru, ce... Il avait encore plein de qualificatifs en tĂȘte mais se ravisa Ă  les prononcer et se concentra sur ce qui Ă©tait en train de se passer. Il tourna sur lui-mĂȘme et constata que les Ă©lĂšves prĂ©sents avaient soit jetĂ©, soit cachĂ© ce qu'ils avaient en main. Allez qui va assumer s'ĂȘtre amusĂ© et avouer que Leister McKinley avait lancĂ© la meilleure soirĂ©e de l'annĂ©e ? Et c'est Shela qui s'y colla ! Elle pĂ©ta littĂ©ralement un cĂąble et s'Ă©prit Ă  lancer de la poudre dans tous les coins possible, vexĂ©e de cette interruption. GĂȘnĂ©, le bleu et bronze ne voulait pas assumer cet acte et regarda la serpentard fixement avec de gros yeux pour lui faire comprendre qu'elle abusait sur ce coup-lĂ . Pendant ce temps-lĂ , le traĂźtre Ă  la nation sorciĂšre prit la parole J'ai parlĂ© Ă  l'organisateur de la soirĂ©e qui se dĂ©noncera certainement de lui mĂȘme. Il avait prit, avant que vous n'arriviez, la dĂ©cision d'arrĂȘter les festivitĂ©s. Il a comprit son erreur, les autres aussi certainement ». Avait-il entendu les propos du bougre ? Il avait signalĂ© ne rien vouloir savoir et le sang-pur estima que se taire lui poserait moins de problĂšmes qu'une prise de parole ou une dĂ©nonciation. Le londonien lorgna l'heure dans un coin de la piĂšce et constata qu'il Ă©tait 23h41. A cette allure, il passerait minuit au fond d'un cachot avec une croĂ»te de pain et un peu d'eau fraĂźche gentiment apportĂ©s par un geĂŽlier muet et sourd. Il se ravisa sur un de ses premiers commentaires de la soirĂ©e... peut-ĂȘtre qu'il ne passerait, finalement, pas le meilleur anniversaire de sa vie aujourd'hui. Ne sachant que faire, il mordilla sa lĂšvre infĂ©rieure attendant de voir ce qu'il allait faire. InvitĂ© Re Dans la salle de le Ven 5 Juin - 1816 Aurea Ă©tait toujours en train de regarder les diffĂ©rentes personnes qui continuaient Ă  arriver lorsqu’elle vit quelqu’un s’approcher. Il s’agissait d’ElĂ©na, la Gryffondor que la jeune fille avait rencontrĂ© dans le parc. - Salut Aurea, comment ça va depuis l'autre jour ? dit-elle pour la saluer. Coucou ElĂ©na. Contente de te revoir. Ca va super bien merci. » lui rĂ©pondit-elle en souriant. Elle ajouta ensuite Et toi, quoi de neuf ? »Alors que les deux jeunes filles se saluaient, les autres personnes prĂ©sentes s’amusĂšrent comme il se devait. Du coin de l’Ɠil, Aurea put ainsi voir certains plonger dans le jacuzzi avant que Leister ne leur jette de l’eau dessus tout en les invitant Ă  se lancer la poudre qu’ils avaient reçu Ă  l’entrĂ©e l’un sur l’autre. Mais avant d’avoir pu entamer quoique ce soit, l’organisateur de la soirĂ©e mit fin Ă  la soirĂ©e. La jeune fille fronça les sourcils, se demandant quelles Ă©taient les raisons pour lesquelles il arrĂȘtait sa fĂȘte d’anniversaire aussi tĂŽt. Lorsqu’elle vit le professeur Winderfelt Ă  cĂŽtĂ© de lui, la jeune fille en dĂ©duisit qu’il l’y avait incitĂ© voire peut-ĂȘtre mĂȘme qu’il l’avait prĂ©venu que le directeur arrivait. Si c’était le cas, ils Ă©taient tous dans une mauvaise posture. Pour confirmer ses pensĂ©es, le Directeur de Poudlard fit son apparition, Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale. - Quelle belle brochette d'infractions au rĂšglement Non respect du couvre-feu, rassemblement de plus de trois Ă©lĂšves, consommation d'alcool... Je ne veux pas entendre d'excuses, explications ou quoi que ce soit de la sorte. Cela ne m'importe pas, je ne me prĂ©occupe que des faits. Vous enfreignez les rĂšgles, vous en payez les consĂ©quences. C'est aussi simple que ça. Vous allez arrĂȘter immĂ©diatement ce que vous ĂȘtes en train de faire et venir calmement vers La jeune blonde blĂȘmĂźt d’un coup. Bien sĂ»r, en venant ici, elle savait que ce n’était pas bien, que si elle Ă©tait prise, elle aurait surement des ennuis. Mais elle pensait nĂ©anmoins pouvoir s’en sortir. Elle ne serait certainement pas restĂ©e jusqu’au bout. Tout ce qu’elle avait voulu en venant ici, c’était s’amuser un petit peu, dĂ©compresser avant ces maudits examens de fin d’annĂ©e qui la stressaient maintenant depuis des mois. Et voilĂ  que son pire cauchemar arrivait se faire prendre en train d’enfreindre le rĂšglement. Elle qui respectait toujours tout Ă  la lettre, elle qui se voulait une Ă©lĂšve modĂšle, notamment envers ses enseignants. *Bravo ma vieille, c’est rĂ©ussi
* Rouge de honte, elle baissa rapidement la tĂȘte, ne souhaitant pas affronter le regard sĂ©vĂšre de son directeur ainsi que de ses professeurs. C’était une mauvaise idĂ©e de venir ici, une trĂšs mauvaise idĂ©e, et la jeune fille ne savait pas si elle Ă©tait prĂȘte Ă  en assumer les consĂ©quences. Hugh DeyLĂ©gendeGryffondor Re Dans la salle de Dey, le Lun 8 Juin - 2024 Bon cela dit, Kholov Ă©tait lĂ , mais il faisait pas grand-chose. Fin si, il avait complĂštement pĂ©tĂ© l’ambiance. Y a qu’une folle, qu’avait pas encore compris le principe, qui lança de la poudre dans les airs. Heureusement j’étais loin, mais un peu plus et je m’en prenais dans les yeux hein ! C’est que c’était dangereux ces petits trucs là
 En plus, imaginez, ça se trouve je m’en prends, pis aprĂšs j’ai le blanc des yeux tout bleu pendant une Ă©ternité  Nan c’était pas possible, je regardais le barbu et j’attendais sa dĂ©cision. Mais comme elle Ă©tait un peu longue Ă  venir, et que je m’ennuyais, pis surtout que j’avais pas trĂšs envie de rester en sa compagnie, je lui posais nonchalamment une main sur l’épaule, parce qu’il le mĂ©ritait, pis je lui disais sur le ton de la confidence Bon vous semblez rĂ©flĂ©chir
 Moi je me casse, pis vous me ferez part de la dĂ©cision hein. Des boujoux pis des gommes ! »Et sur cette belle expression normande dont le sens Ă©chappe encore Ă  la narratrice, je m’en allais tranquillement. Un peu plus et, de derriĂšre, j’effleurai les fesses de Kholov, mais notre familiaritĂ© ne s’était pas encore dĂ©veloppĂ©e jusqu’à ce point. Non, je me contentais de rĂȘver la bise prochaine que je lui planterai sur les deux joues, quand il aurait remarquĂ© mes compĂ©tences irremplaçables. SergeĂŻ KholovSerpentard Re Dans la salle de Kholov, le Lun 29 Juin - 1749 NavrĂ© pour le retard...Le directeur Ă©tait agacĂ©. TrĂšs agacĂ©. Il s'Ă©tait promis de remettre dans le droit chemin tous ces jeunes sorciers dĂ©pravĂ©s, mais, chaque jour ou presque, il se retrouvait confrontĂ© Ă  un nouvel incident. Si les Ă©tudiants avaient mis leur Ă©nergie dĂ©bordante Ă  travailler plutĂŽt que de faire des bĂȘtises, sans nul doute que Poudlard aurait retrouvĂ© sa grandeur d'antan en l'espace de quelques mois. Au lieu de redoubler d'imagination pour enfreindre le rĂšglement, il auraient mieux fait de mettre cette inventivitĂ© au service de choses plus utiles. Il n'Ă©tait jamais trop tĂŽt pour faire des expĂ©riences et dĂ©couvrir de nouvelles potions, par exemple. Kholov ne comprenait dĂ©finitivement pas ce qui pouvait se passer dans la tĂȘte de ses russe leur avait donc demandĂ© de se rapprocher, afin de distinguer un peu mieux les visages des fautifs et donc de pouvoir les nommer. En effet, malgrĂ© ses innombrables talents et qualitĂ©s, il ne pouvait malheureusement pas punir des Ă©lĂšves sans connaitre leur nom. C'Ă©tait d'ailleurs bien dommage, mais difficilement remĂ©diable. Un ĂȘtre tout dĂ©goulinant - dont le visage avait une Ă©trange teinte colorĂ©e - s'avança vers le fameux directeur et lui tendit sa main. Main que l'ancien serpentard observa d'un air suspicieux sans bouger d'un millimĂštre. Le concierge, puisque c'Ă©tait lui, pensait sĂ©rieusement que Kholov allait s'abaisser Ă  lui serrer cette chose poisseuse ? Il pouvait toujours courir. Dey prit ensuite la parole mais le doyen n'Ă©couta pas. Ou du moins il ne prĂȘta qu'une oreille distraite aux propos de son employĂ©. Cela lui suffit d'ailleurs Ă  comprendre que quelque chose clochait. Il y avait gobelin sous mornille. Les versions des membres de son personnel ne concordaient pas. A quatre sorciers adultes ils auraient tout Ă  fait pu stopper la fĂȘte, s'ils l'avaient voulu...NĂ©anmoins le doyen ne fit rien et resta parfaitement impassible. Nul ne pouvait deviner ce qui se passait sous son crane dĂ©garni. A l'instant T, il fallait sanctionner les Ă©tudiants fautifs. Kholov rĂ©flĂ©chirait plus tard au comportement de ses employĂ©s. Il allait laisser la situation se dĂ©canter tranquillement, comme si de rien Ă©tait. Et dans quelques jours, voire semaine, lorsqu'ils ne s'y attendraient pas, l'ancien serpentard leur tomberait dessus. Oui, il aimait agir de façon sournoise. Le nouveau professeur, Winderfelt, s'avança et prit Ă  son tour la parole, donnant sa propre version des faits. Le directeur haussa un sourciel circonspect. Il ne croyait pas un traitre mot de ce que venait de raconter ce spĂ©cialiste des moldus. Les rĂ©fractaires au rĂšglement Ă©taient rarement du genre Ă  se dĂ©noncer ou Ă  comprendre leurs erreurs. Et comme pour corroborer les pensĂ©es de Kholov, une jeune fille, visiblement bien Ă©mĂ©chĂ©e, se rapprocha, donna son avis personnel sur les brochettes puis lança de la poudre colorĂ©e. Celle-ci n'atteignit heureusement pas l'ex vert et argent, mais il nota dans un coin de sa tĂȘte le nom de l'impertinente. Son exemple ne fut heureusement pas suivi et le reste des Ă©lĂšves suivit calmement les consignes. Peu de temps aprĂšs, la main poisseuse se posa sur l'Ă©paule du russe et l'affreux visage peinturlurĂ© du concierge se rapprocha de celui du Bon vous semblez rĂ©flĂ©chir
 Moi je me casse, pis vous me ferez part de la dĂ©cision hein. Des boujoux pis des gommes !Kholov se dĂ©gagea sĂšchement. Puis, voyant que Dey partait sans mĂȘme avoir obtenu son autorisation, il l' Monsieur Dey. Je vous demanderais de bien vouloir rester en notre compagnie quelques petites minutes supplĂ©mentaires. Je veux bien croire qu'en tant que concierge vous ayez un emploi du temps particuliĂšrement chargĂ©, mais... il se trouve que j'ai du travail pour vous et que ce qui se passe en ce moment vous concerne. Aux derniĂšres nouvelles, vous ĂȘtes supposĂ© faire appliquer les sanctions. N'est-ce pas ?Le directeur marqua une pause, le temps de balayer l'assemblĂ©e du regard. Comme il l'avait prĂ©vu, aucun Ă©tudiant ne semblait disposĂ© Ă  se dĂ©noncer... Le nĂ©ophyte de l'Ă©quipe professorale avait encore beaucoup Ă  Je retire 20 points Ă  chaque Ă©lĂšve prĂ©sent dans cette piĂšce. On n'enfreint pas les rĂšgles sans en subir les consĂ©quences. Cependant vous avez commis beaucoup d'infractions ce soir. Beaucoup trop pour qu'elles puissent ĂȘtre sanctionnĂ©es par un simple retrait de points. C'est pourquoi j'ai un petit quelque chose Ă  vous proposer. Soit le responsable de ce dĂ©bordement se dĂ©nonce et la punition des autres est allĂ©gĂ©e. Soit vous passez le reste de votre soirĂ©e dans les cachots afin de recopier dix fois le rĂšglement intĂ©rieur de l'acadĂ©mie. Avec une plume adĂ©quate pour ce genre de sanctions, il en va de soi... Hugh DeyLĂ©gendeGryffondor Re Dans la salle de Dey, le Lun 29 Juin - 2140 Visiblement, Kholov Ă©tait pas tout Ă  fait d’accord pour que je parte. Ni pour que je le touche d’ailleurs. J’avais profitĂ© de son mouvement de recul pour me faufiler entre lui et la porte – d’ailleurs il se relĂąchait un peu le petit Kholov lĂ , il prenait tout l’encadrement, fallait qu’il se mette au rĂ©gime – mais il Ă©tait pas trĂšs content et me rappelait un peu Ă  l’ Monsieur Dey. Je vous demanderais de bien vouloir rester en notre compagnie quelques petites minutes supplĂ©mentaires. Je veux bien croire qu'en tant que concierge vous ayez un emploi du temps particuliĂšrement chargĂ©, mais... il se trouve que j'ai du travail pour vous et que ce qui se passe en ce moment vous concerne. Aux derniĂšres nouvelles, vous ĂȘtes supposĂ© faire appliquer les sanctions. N'est-ce pas ?- Ah bah ça, c’est clair que je suis chargĂ© hein ! Je vous rappelle que c’est moi qui suis censĂ© dĂ©busquer les plus grosses infractions au rĂšglement. J’ai fait mon taf lĂ . J’aurai bien aimĂ© en chercher d’autres ce soir mais si vous me trouvez si indispensable ici
 Je m’étais reculĂ©, et j’avais bien fait de dĂ©vier un peu parce que sinon je me retrouvais dos Ă  dos avec lui. Et il aurait sans doute pas aimĂ©. Ca se trouve, ça aurait fait perdre encore plus de points aux Ă©lĂšves. Pourtant, vingt chacun c’était dĂ©jĂ  assez lourd comme sanction. Et ça l’était d’autant plus quand il annonçait la suite. Moi, je voyais bien ce qui me pendait au nez. J’avais aucune envie de surveiller de longues heures dans les cachots tous les Ă©lĂšves ici prĂ©sents. Du coup j’étais pour l’auto-dĂ©nonciation. Voire la dĂ©lation. Et d’ailleurs, ce serait peut-ĂȘtre encore mĂȘme mieux si je le faisais moi-mĂȘme non ? Hum
 En un Ă©clair j’avais trouvĂ© une solution. J’essayais de mettre Ă  profit quelques dons de ventriloquie – bon ok, on voyait bien que c’était moi qui parlait, mais Kholov me voyait pas lui – et je faisais une voix plus aiguĂ« pour imiter celle de ces ados en pleine pubertĂ©, dont la mue n’était pas tout Ă  fait terminĂ©e, pour annoncer un C’est moi » timide. Et aussitĂŽt, je bondissais sur mes pieds, la baguette sortie, Ă  l’affĂ»t J’ai entendu quelqu’un ! Qui a parlĂ© !? Vous ĂȘtes devant le directeur, j’exige que vous sortiez un peu vos tripes et que vous vous dĂ©nonciez mieux que ça ! » Shela DiggleSerpentard Re Dans la salle de Diggle, le Lun 29 Juin - 2242 Personne n'a bougĂ© d'un poil. Fin si, certainement, sauf qu'un poil, c'est dur Ă  choper en mouvement, surtout d'aussi loin. A part quelqu'un qu'essaye de m'choper moi par le bras. Oui oui, choper et pas pĂ©cho. Il me semble. Tout est super calme, beaucoup trop mĂȘme. L'vieux devant, il a pas l'air super heureux, et comme j'ai devancĂ© la foule, j'vois plus les faces des autres. Comment agir alors ? J'me renfrogne, sachant qu'il y a quelques instants, j'Ă©tais fĂąchĂ©e contre ses brochettes, ça j'le sais. J'sais pas pourquoi, mais j'Ă©tais fĂąchĂ©e, autant garder ça Ă  l'esprit. J'parle pas, parce que personne ne le fait. Peut ĂȘtre qu'il faut pas. Pas bonne idĂ©e. J'essaie de sentir la tension qui imprĂšgne la salle, mais j'n'arrive pas Ă  dĂ©cider de laquelle il s'agit. Ils sont emmerdĂ©s ou tristes, ces gens ? Eh mer*e, on s'en fou. Le temps passe trĂšs, trĂšs lentement. Et puis l'vieux s'refait entendre, cet idiot. Il parle de sanction. Je n'en vois pas la raison, franchement j'vous jure. De ces idĂ©es les vieux aussi. Sont relous. " Soit le responsable de ce dĂ©bordement se dĂ©nonce et la punition des autres est allĂ©gĂ©e. Soit vous passez le reste de votre soirĂ©e dans les cachots afin de recopier... " Quoi quoi quoi pardon ?! Se dĂ©noncer ? J'sais qu'c'est Leister qui m'a conviĂ©e ici, et l'gamin a pas intĂ©rĂȘt Ă  se dĂ©gonfler. On s'ra tous solidaires, de toute maniĂšre, il aurait pas idĂ©e de perdre la face devant les vieux. C'pas moi qui lui en voudrais, tout cas. Je jurerais que les autres sont du mĂȘme avis. La lĂąchetĂ© c'est moche, c'est tout moche. Tant pis pour la punition. On se fera pas avoir par son chantage. C'est vilain l'chantage, on m'l'a appris toute petite. Faut surtout pas renchĂ©rir. Surtout, rester immobile, tout Ă  fait immobile... On est pas des trouillards, nous, nan nan, nous on est des warriors, on s'laissera jamais berner par vos stupides manigances. Faut pas nous prendre pour des... Pour des... J'sais plus l'mot, mais faut pas nous sous-estimer. Votre piĂšge est minable, nous on va protĂ©ger l'Leister. Personne ne saura qui c'est, le chef ici. On pourra pas tous nous foutre en taule. Si ? Je n'ose pas me retourner. Surtout ne pas bouger, hein. Sauf qu'un Ă©lĂ©ment non prĂ©visible dans mon plan gĂącha absolument tout. Le Hugh d'avant se dĂ©nonça Ă  la place du brun. Quel c*n. De un, ça foirait l'idĂ©e de rĂ©sistance. De deux, il faisait mĂȘme pas partie de la liste des invitĂ©s, c'gars lĂ . Sauf que ce cinglĂ© bondit vers moi en criant. Aha, attaque personnelle hein ? C'est ce qu'on allait voir. SchizophrĂšne en prime. J'lui avais rien fait moi. Comme il Ă©tait assez proche de moi, je me vengeais farouchement en lui Ă©crasant le pied d'un de mes talons. InvitĂ© Re Dans la salle de le Mar 30 Juin - 1410 Ne pas bouger, attendre inlassablement... À quoi ça servait dĂ©jĂ  ?Rurik savait bien Ă©videmment qui Ă©tait Ă  l'origine de tout ça, il l'aurait probablement indiquĂ© au directeur si ce dernier n'avait pas Ă©tĂ© aussi dĂ©sagrĂ©able, s'il s'Ă©tait comportĂ© en vĂ©ritable leader. C'Ă©tait bien beau d'ĂȘtre vieux et "expĂ©rimentĂ©"... Mais le respect et la confiance, ça ne s'obtenait pas tout simplement parce qu'il Ă©tait leur supĂ©rieur dans cette Ă©cole. Surtout quand il s'agissait de quelqu'un de si peu connu que ce Mr. mĂ©dicomage restait donc en retrait, comme depuis le dĂ©but. Bien Ă©videmment, il tenterait d'arrĂȘter tout Ă©lĂšve qui voudrait prendre la fuite, mais ce serait bien trop dommage, une excuse pour le directeur d'accuser n'importe qui et ne pas devoir prendre de mesures plus consĂ©quentes.... Un peu lunatique, le Mkrovsk, non ? Certes il voulait que les Ă©lĂšves arrĂȘtent de prendre l'Ă©cole pour un lieu qui leur appartenait, pour un repaire oĂč foisonnaient la drogue et les rapports sexuels, mais eh ! Si celui qui faisait appliquait les "lois" ne convenait pas pour ce job, il fallait bien s'en rendre compte avant qu'il ne soit trop tard !Le professeur pouvait s'en aller Ă  tout instant, il avait une parade parfaite, qui Ă©tait inscrite dans son contrat depuis son arrivĂ©e ici, antĂ©rieure Ă  celle du nouveau directeur... Cependant, il prĂ©fĂ©rait rester un petit peu, pour voir ce qui allait se passer. Le concierge ajoutait une touche comique, mais quelque peu lourde. Il Ă©tait bien gentil, mais Ă  force, cela commençait Ă  ĂȘtre agaçant, et l'imposant sorcier se demanda comment il avait rĂ©ussi Ă  garder son travail. Ou du moins, si cela impliquait Kholov et passer sous un bureau... il ne prĂ©fĂ©rait pas savoir... InvitĂ© Re Dans la salle de le Mer 22 Juil - 1108 Personne ne pipait mot ou ne bougeait actuellement dans la salle ce qui rendait l'atmosphĂšre lourde. Le coup d'Ă©clat de Shela n'avait pas eu l'effet escomptĂ©, bien au contraire. Les paroles glaciales jetĂ©es par le nouveau directeur, Kholov, avaient mis en panique pas mal d'Ă©lĂšves au point de ne plus les entendre. Que fallait-il faire ? Un peu perdu, l'aiglon qui venait d'avoir tout juste quinze ans ne savait pas sur quel pied danser. * Quelle fĂȘte rĂ©ussie * se dit-il, déçu de ne pas avoir passĂ© minuit dans la folie et dans l’excĂšs comme il l'avait prĂ©vu. C'est sĂ»r, il se souviendrait de son anniversaire, certainement pas de maniĂšre positive, mais il s'en rappellerait. Par ailleurs, il n'Ă©tait pas difficile de deviner qui Ă©tait l'organisateur de la soirĂ©e d'une part Ă  cause du costume qu'il portait, d'autre part car son nom Ă©tait inscrit sur l'une ou l'autre invitation qui traĂźnait dans cette piĂšce. TĂŽt ou tard, il allait devoir rĂ©pondre de ses actes dans le bureau de l'ancien serpentard. Devait-il pour autant mettre ses camarades dans les ennuis ? Ça s'Ă©tait une toute autre question... qui n'Ă©tait pas si facile Ă  rĂ©pondre. Le minot Ă©tait joueur et mettre ses copains de classe dans l'embarra n'Ă©tait pas dĂ©rangeant si cela Ă©tait nĂ©cessaire Ă  son bonheur. Comme pour se rassurer, il bougea de position et s’accroupit quelques secondes tout en laissant un crac sonore se faire entendre au niveau de ses le vieux reprit la parole Je retire 20 points Ă  chaque Ă©lĂšve prĂ©sent dans cette piĂšce. On n'enfreint pas les rĂšgles sans en subir les consĂ©quences. Cependant vous avez commis beaucoup d'infractions ce soir. Beaucoup trop pour qu'elles puissent ĂȘtre sanctionnĂ©es par un simple retrait de points. C'est pourquoi j'ai un petit quelque chose Ă  vous proposer. Soit le responsable de ce dĂ©bordement se dĂ©nonce et la punition des autres est allĂ©gĂ©e. Soit vous passez le reste de votre soirĂ©e dans les cachots afin de recopier dix fois le rĂšglement intĂ©rieur de l'acadĂ©mie. Avec une plume adĂ©quate pour ce genre de sanctions, il en va de soi...Évidemment dit comme ça, la donne changeait. Il n'avait guĂšre envie de passer du temps Ă  copier des lignes en compagnie des autres punis mĂȘme s'il s'en foutait royalement. Son temps Ă©tait prĂ©cieux et il n'avait pas envie de le perdre dans un cachot Ă  copier des lignes et encore des lignes. A part gaspiller des morceaux de parchemins et de l'encre, ce genre de chĂątiment ne servait Ă  rien. Il rĂ©flĂ©chit Ă  la situation longuement et essaya de voir comment il pouvait retourner la situation Ă  son avantage. AprĂšs tout, il fallait maintenant ruser pour s'en sortir au mieux. Qu'est-ce qu'il pouvait gagner Ă  se dĂ©noncer ? Il se dit qu'une conversation en tĂȘte Ă  tĂȘte avec le russe pouvait l'emmener Ă  parler de sujets dĂ©sirĂ©s. Certes, ça ne serait pas facile mais il pouvait toujours tentĂ© cette approche. Pourquoi ne pas Ă©voquer ses rĂ©sultats scolaires plus que positifs lors de ces quatre derniĂšres annĂ©es et son comportement irrĂ©prochable depuis. Tout le monde pouvait faire des erreurs. AprĂšs tout, il pourrait mĂȘme arranger une sorte de compromis si la possibilitĂ© se prĂ©sentait Ă  lui. J’ai entendu quelqu’un ! Qui a parlĂ© !? Vous ĂȘtes devant le directeur, j’exige que vous sortiez un peu vos tripes et que vous vous dĂ©nonciez mieux que ça ! » VoilĂ  que Dey s'amusait Ă  jouer au dĂ©bile. Comme si sa voix n'Ă©tait pas reconnaissable... il aurait pu faire mieux, s'indigna le serdaigle. Le sang-pur leva les yeux au ciel Ă  la suite de ça pour montrer son exaspĂ©ration et se releva laissant Ă  un nouveau crac sonore s'Ă©chapper de ses jambes. Il Ă©tait temps de faire avancer les choses et il prit la parole dignement et coupa ce silence de mort. Si vous cherchez un coupable, c'est moi qu'il faut punir Monsieur le Directeur. Il ne sert Ă  rien de se cacher plus longtemps puisqu'il sera facile pour vous de trouver l'instigateur rapidement » dit-il tout en s'abaissant pour ramasser une invitation juchĂ©e sur le sol et la montrer. Une fois le papier montrĂ©, il reprit oĂč il s'Ă©tait arrĂȘtĂ© Les participants n'y sont pour rien ! Je les ai conviĂ©s mĂȘme s'ils sont lĂ  de leur plein grĂ©. Par contre, je n'ai invitĂ© qu'aucun professeur ou directeur de maison Ă  venir assister Ă  cette folie. J'ai, d'ailleurs, Ă©tĂ© le premier Ă©tonnĂ© en les voyant et encore plus quand j'ai remarquĂ© que ces derniers participaient rĂ©ellement aux festivitĂ©s. Ne trouvez-vous pas Ă©trange de voir une directrice dĂ©barquer avec ses propres bouteilles en compagnie du professeur de MĂ©dicomagie ? Ou encore un concierge profiter des installations au maximum ? S'il y en a bien un qui peut se targuer d'avoir jouĂ© les chaperons c'est Monsieur Winderfelt, Ă©tonnamment... ». AprĂšs avoir exposĂ© les faits, le bleu et bronze savait qu'il allait devoir – maintenant - passer Ă  la casserole dans le bureau du nouveau Directeur de Poudlard. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re Dans la salle de Parker, le Ven 24 Juil - 1550 Ashton ne comprenait pas trop comment la soirĂ©e en Ă©tait arrivĂ©e lĂ . Lorsqu'il Ă©tait arrivĂ©, tout le monde s'amusait, faisait la fĂȘte et cĂ©lĂ©brait comme il se devait les quinze ans de Leister. Et puis des professeurs et autre avaient commencĂ© Ă  arriver. Bon, sur le coup c'Ă©tait un peu surprenant mais aprĂšs tout ils avaient juste rejoint la fĂȘte avec les participants dĂ©jĂ  prĂ©sents et n'avaient absolument rien fait pour la stopper. Et puis d'un coup ça avait Ă©tĂ© le bordel. Kholov Ă©tait arrivĂ© et tout le monde avait paniquĂ© avant de laisser place Ă  un grand silence. Dey tenta de quitter les lieux "discrĂštement" mais fut aussitĂŽt interpelĂ© par le directeur. - Je retire 20 points Ă  chaque Ă©lĂšve prĂ©sent dans cette piĂšce. On n'enfreint pas les rĂšgles sans en subir les consĂ©quences. Cependant vous avez commis beaucoup d'infractions ce soir. Beaucoup trop pour qu'elles puissent ĂȘtre sanctionnĂ©es par un simple retrait de points. C'est pourquoi j'ai un petit quelque chose Ă  vous proposer. Soit le responsable de ce dĂ©bordement se dĂ©nonce et la punition des autres est allĂ©gĂ©e. Soit vous passez le reste de votre soirĂ©e dans les cachots afin de recopier dix fois le rĂšglement intĂ©rieur de l'acadĂ©mie. Avec une plume adĂ©quate pour ce genre de sanctions, il en va de soi...En soit, les vingt points le Gryffondor s'en fichait un peu. AprĂšs tout il y avait quand mĂȘme des gens de toutes les maisons ici donc tout le monde perdrait des points. Par contre, l'idĂ©e de passer sa soirĂ©e dans les cachots pour recopier le rĂšglement en boucle Ă©tait nettement moins plaisante. Et si la "plume adĂ©quate" ressemblait ne serait-ce qu'un peu Ă  celle qu'il avait trouvĂ© une fois en compagnie de Noa, ça risquait de piquer lĂ©gĂšrement la main. Le sang-mĂȘlĂ© n'Ă©tait pas du genre Ă  balancer alors il se contenta d'essayer le plus possible de se fondre dans le dĂ©cor mais il espĂ©rait tout de mĂȘme que Leister se y eu un petit moment de flottement durant lequel Dey et Shela se chamaillĂšrent. Puis le Serdaigle prit finalement la parole au grand soulagement d'Ashton et du reste des Ă©lĂšves prĂ©sents sans aucun doute. Lorsque l'organisateur de la soirĂ©e en profita pour enfoncer un peu les membres du personnels prĂ©sents, Parker ne pu retenir un lĂ©ger sourire. Pas de doute qu'ils allaient prendre cher eux. Maintenant, il ne restait plus qu'Ă  attendre la rĂ©ponse de SergeĂŻ. Evelynn KayneGryffondor Re Dans la salle de Kayne, le Ven 31 Juil - 1101 La petite soirĂ©e organisĂ©e par Leister Ă©tait plutĂŽt sympathique. Tous les Ă©lĂšves s'amusaient, certain adultes Ă©taient mĂȘme prĂ©sents sur les lieux. Rien Ă  redire. Jusqu'Ă  l'arrivĂ©e du boss qui lui, ne semblait pas si amusĂ© que ça. Comment avait-il su ? Il avait des yeux et des oreilles partout ce fourbe ou quoi ? En-tout-cas, ça c'Ă©tait pas bon du tout pour les sabliers des maisons respectives. ElĂ©na se dĂ©plaça pour mieux apercevoir Kohlov et ce qu'il avait Ă  retire 20 points Ă  chaque Ă©lĂšve prĂ©sent dans cette piĂšce. On n'enfreint pas les rĂšgles sans en subir les consĂ©quences. Cependant vous avez commis beaucoup d'infractions ce soir. Beaucoup trop pour qu'elles puissent ĂȘtre sanctionnĂ©es par un simple retrait de points. C'est pourquoi j'ai un petit quelque chose Ă  vous proposer. Soit le responsable de ce dĂ©bordement se dĂ©nonce et la punition des autres est allĂ©gĂ©e. Soit vous passez le reste de votre soirĂ©e dans les cachots afin de recopier dix fois le rĂšglement intĂ©rieur de l'acadĂ©mie. Avec une plume adĂ©quate pour ce genre de sanctions, il en va de soi...Vingts points... Ça faisait quand mĂȘme mal, sachant qu'ElĂ©na n'Ă©tait pas la seule Gryffondor dans la piĂšce. Pour se rĂ©conforter, elle pensa aux autres sabliers perdant eux-aussi quelques points. Le pire fut quand mĂȘme l'idĂ©e des cachots. C'Ă©tait un barbare celui-lĂ . La lionne voyait bien quel genre de plume il voulait utiliser. La plume qui vous dĂ©fonce la main dans toute sa splendeur. Mais au soulagement de Gilbert, et probablement de tous les autres Ă©lĂšves prĂ©sents dans cette piĂšce, Leister se dĂ©nonça courageusement. Ce dernier profita Ă©galement de son temps de parole pour attaquer intelligemment les adultes qui avaient vite fait retournĂ© leur veste. ElĂ©na eut un petit sourire, il n'y aurait pas que les Ă©lĂšves qui allaient s'en morde les doigts finalement. Re Dans la salle de sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum 1Avis McKinley Yukon Ct 55+10 Vario . DĂ©couvrez 1 avis des sacs Ă  dos McKinley Yukon Ct 55+10 Vario par la communautĂ© Outzer, avec une note moyenne de 7 sur 10. Sur Outzer, les tests sont rĂ©digĂ©s par une communautĂ© de pratiquants passionnĂ©s qui Ă©valuent leur matos en toute indĂ©pendance. 1 avis . 7 /10. Excellent - TrĂšs bien 100% . Moyen - DĂ©cevant - Horrible -
Bonjour Denwoo-DEUTER ACT lite 40+10 L, 1,5Kg celui sur lequel j'ai "flashĂ©" pas vraiment de point nĂ©gatif enfin pour moi ^^, c'est assez bien avec sa jupe de +10L pour les fois oĂč j'ai la flemme de bien ranger le matos un bon sac, confortable et y a quelques annĂ©es, on osait encore en parler sur le mĂȘme de son grand frĂšre le 50+ y a mĂȘme pas mal de MULs pour qui c'Ă©tait "LE" pour beaucoup de randonneurs "ordinaires", il reste une lui trouver de point nĂ©gatifs, je dirais que tu peux trouver mieux, Ă  la fois plus confortable, plus pratique mieux accessorisĂ©, plus lĂ©ger sans ĂȘtre fragile, auprĂšs de fabricants plus innovants que Deuter, et Ă  la rĂ©putation solidement y a peu de temps, on parlait beaucoup sur le forum - du Talon 44 Osprey - de l'Exos 46 Osprey`D'aprĂšs ma petite expĂ©rience des Deuter et des Osprey 4 Deuter et 4 Osprey Ă  la maison, Osprey l'emporte haut la main au niveau du confort de la ceinture et surtout de la capacitĂ© du couple "armature+ceinture" Ă  reporter quasiment la totalitĂ© du poids du sac sur les ce qui est de l'accessorisation - les deux poches de ceinture pour les choses Ă  avoir Ă  portĂ©e de main, sans avoir besoin de mettre bas le sac, ni mĂȘme de s'arrĂȘter; pour moi, je pense Ă  la crĂȘme solaire, aux piles de rĂ©serve, Ă  la boussole ... - les porte-bĂątons super bien conçus - les sangles de serrage latĂ©rales qui peuvent passer Ă  l'extĂ©rieur ou Ă  l'intĂ©rieur des poches latĂ©rales ...Les deux modĂšles citĂ©s offrent diffĂ©rentes "longueur dos" et une possibilitĂ© de rĂšglage fin c'est important pour un sac Ă  armature si on veut un bon report du poids sur les Talon est un sac plutĂŽt en longueur et prĂšs du dos excellent pour l'Ă©quilibre et pour franchir les passages dĂ©licats cfr les sacs d'alpi.L'Exos possĂšde un dos en filet tendu, qui garantit une bonne Ă©vacuation de la transpiration et un contact sans aucun point dur avec le dos. En revanche, la charge est plus dĂ©portĂ©e vers l'arriĂšre, se qui n'est pas l'idĂ©al quand le sac est mal et/ou trop chargĂ© on doit Ă©quilibrer ce dĂ©port vers l'arriĂšre en dĂ©portant lĂ©gĂšrement le tronc vers l'avant ou la tĂȘte, d'oĂč risques de douleurs dans le cou.SoliditĂ©, durabilitĂ©, Ă©conomie sur le long terme les sacs Osprey sont garantis Ă  vie, et de mon expĂ©rience ce n'est pas que du choses 1. Tout cela est extrĂȘmement personnel, fonction de la morphologie individuelle 2. Si tu rĂ©duis la charge Ă  transporter, tu rĂ©duis ta fatigue, tu prĂ©serves tes articulations Mais lĂ , il n'y a pas que le poids qui joue une musculature renforcĂ©e, une bonne hydratation ... c'est au moins aussi impoirtant.Voir aussi aussi cette discussion, pour les charges plus consĂ©quentes DerniĂšre modification par Bison 07-03-2013 162320 La balance n'est pas un maĂźtre, mais un serviteur
Lesac à dos femme Astrum EVO 55+10 de Vaude est un sac à dos parfaitement adapté aux randonnées de plusieurs jours et aux voyages au bout du monde, nécessitant de porter des charges assez importantes. D'une

CaractĂ©ristiques techniques Poches pour un stockage supplĂ©mentaire. Peut stocker une bouteille. Si pas utilisĂ©es, les poches sont cachĂ©es Des courroies Ă  l'extĂ©rieur du sac Ă  dos permettent d'attacher les bĂątons pour faciliter le transport Grande ouverture Ă  glissiĂšre Ă  l'avant du sac Ă  dos permettant un accĂšs rapide Ajustement prĂ©formĂ© anatomiquement, adaptation facile Ă  toute longueur de dos, rĂ©glage du contrĂŽle du poids pour une rĂ©partition optimale le long du corps de l’utilisateur et ventilation de qualitĂ© supĂ©rieure, le systĂšme dorsal FIT VARIO est idĂ©al pour les aventures avec de lourdes charges. La finition DWR hydrofuge durable et WR hydrofuge 100% Ă©cologique, sans PCF sans fluorocarbone, est un traitement hydrofuge durable, hautement durable et renouvelable Housse de pluie incluse Ceinture lombaire MatiĂšre polyester recyclĂ©, ripstop Charge maximale 20 kg Dimensions 75 x 27 x 23 cm Poids 1,75 kg Volume 55 litres + 10 litres PrĂ©parez-vous pour vos aventures en plein air avec le sac Ă  dos Make CT 55 + 10 Vario de McKINLEY. Conçu pour les randonnĂ©es de plusieurs jours, il offre d'excellentes performances et un confort optimal aux passionnĂ©s de voyages.

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